4 fois où la région a tenu la vedette à l’écran en 2022
Un manoir de Châteauguay en vedette à la télé
L’émission Le Fabuleux Printemps de Marie-Lyne, de Noovo, a passé une semaine au luxueux Manoir Blackswan, situé à Châteauguay. C’est là que l’animatrice Marie-Lyne Joncas a reçu plusieurs de ses invités, dont Gildor Roy.
«On vous a promis de changer de place chaque semaine. Ta-dam! Un manoir d’inspiration rococo. C’est un mot funky qui veut dire cher, je pense», avait-elle lancé au début de l’épisode diffusé le 18 avril.
Avec plus de 6 000 pieds carrés de superficie, l’immeuble de la rue Mc Comber est décoré avec des lampes, des peintures, des objets et meubles du 18e au 20e siècle. On y retrouve même des animaux empaillés. Le propriétaire de l'endroit, Emmanuel Hébert, loue régulièrement le manoir aux créateurs de mode ou de cinéma, entre autres.
Une série québécoise en tournage à Sainte-Martine
Des secteurs de Sainte-Martine ont été transformés en village de Walton, ville fictive de la série québécoise Léo, le temps de deux jours de tournage, les 15 et 16 septembre.
Depuis la saison 1, les fans de l’émission ont peut-être remarqué que l’église de Sainte-Martine est utilisée pour représenter le lieu de culte du village dans lequel vit Léo, personnage principal de la série joué par Fabien Cloutier.
Un étudiant martinois signe son premier film
Sainte-Martine s’est retrouvée une deuxième une fois sous les projecteurs, tout comme de Saint-Urbain-Premier. L’étudiant universitaire en effets visuels, William Cardinal, a réalisé un moyen métrage de science-fiction intitulé Oasis, qui a été influencé par le climat social qui résulte de la pandémie.
Les scènes du film ont été tournées majoritairement dans la campagne de la région où la nature était bien présente, a précisé le réalisateur de 21 ans.
Des élèves mohawks de l’école Billings réalisent un vidéoclip
Quatre jeunes artistes mohawks ont tourné le vidéoclip de leur chanson They Fly (Ils s’envolent) dans des endroits marquants de Kahnawake et à leur école secondaire Howard S. Billings à Châteauguay.
Le projet a été développé par l’organisme sans but lucratif N'we Jinan, qui donne aux jeunes provenant de communautés autochtones les outils et de l’accompagnement pour créer de la musique afin «de s’exprimer et de se connecter avec leurs pairs», peut-on lire sur son site web.