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Des tirelires virtuelles cette année pour Leucan Montérégie

le samedi 03 octobre 2020
Modifié à 11 h 45 min le 30 septembre 2020
Par Mario Pitre

mpitre@gravitemedia.com

La 22e campagne des Tirelires d’Halloween de Leucan prendra une allure virtuelle cette année en raison de la pandémie. « Chaque établissement ou groupe aura sa propre tirelire virtuelle et pourra recevoir des dons en ligne facilement et de façon sécuritaire », mentionne Leucan Montérégie par voie de communiqué. Cette tirelire virtuelle sera accessible au www.tirelires-leucan.com, une adresse à laquelle l’entourage des enfants et le grand public pourront faire des dons. C’est à la même adresse qu’il faut accéder pour créer sa propre tirelire. Parallèlement, les établissements scolaires auront également accès à une foule d’activités interactives, créées en collaboration avec des professionnels du milieu scolaire, favorisant les apprentissages, la discussion et l’engagement citoyen : cahiers d’exercices, quiz interactif et activités de discussion en groupe. « Les jeunes de ma classe sont fiers de contribuer à la cause de Leucan et de sensibiliser les autres élèves au cancer pédiatrique. Ils apprennent à travailler ensemble grâce aux tirelires », commente Stéphanie Proulx, enseignante de 5e année en Montérégie. Leucan espère cette année recevoir l’inscription de 400 tirelires virtuelles. De plus, afin de financer ses activités, Leucan Montérégie ajoute un volet à la campagne en invitant la population à se procurer des seaux de bonbons KandJu de 225g au coût de 6 $ chacun. Il est possible de commander auprès de Leucan Montérégie en remplissant le bon de commande en ligne : https://forms.gle/HLkCtJTpS6uvHQpJ8. Pour Leucan, les Tirelires d’Halloween permettent de financer le service de sensibilisation et d’accompagnement en milieu scolaire. « Les traitements que reçoivent les enfants malades provoquent plusieurs changements : modification de l’image corporelle, difficulté de concentration, fatigue, système immunitaire affaibli, etc. Tous ces changements créent un stress important chez ces enfants, qui cherchent à retrouver un semblant de normalité et oublier la maladie, surtout lors de leur retour à l’école. Les jeunes qu’on accompagne sont soulagés par notre présence, moins anxieux et plus à l’aise d’exprimer leurs préoccupations et de réintégrer les activités en classe », explique Christelle Robitaille-Hains, conseillère de Leucan.