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Problème de pression d'eau à Mercier cette fin de semaine

le lundi 15 juin 2020
Modifié à 9 h 56 min le 15 juin 2020
Par Valérie Lessard

vlessard@gravitemedia.com

Une grande partie du territoire de Mercier a subi une baisse de pression de l'eau le samedi 13 juin en raison du bris d'une pompe au poste de surpression Sambault. La Ville de Mercier affirme que la situation est revenue à la normale après quelques heures.   Une des trois pompes qui se trouvent au poste de surpression Sambault s'est arrêtée à la suite d'un bris le samedi 13 juin, indique la Ville de Mercier. Une seule pompe suffit à maintenir la pression nécessaire pour alimenter les citoyens de la municipalité. Cependant, lorsque la pompe en fonction s'est arrêtée, la pompe de secours n'a pas pris le relais. « De plus, il semble que l’arrêt de la pompe n’a pas fait l’objet d’une alarme par le système de surveillance des pompes », a précisé le directeur des travaux publics et du génie, Michel Brousseau dans un communiqué. La troisième pompe ne fonction plus depuis quelques mois en raison d'un bris. «Une intervention d’urgence de la Ville de Mercier, en collaboration avec la firme SIMO, responsable de la surveillance et de l’entretien des équipements de la RIAVC, a permis un retour à la normale au bout de quelques heures», souligne la Ville. Les équipements du poste de surpression Sambault sont sous la responsabilité de la Régie intermunicipale d'aqueduc de la Vallée de Châteauguay. La mairesse de Mercier Lise Michaud a tenu à remercier la Ville de Châteauguay pour sa disponibilité. «Leur réponse rapide a permis de faciliter l’analyse des causes du problème et c’est pourquoi nous les remercions », mentionne Mme Michaud. Châteauguay fournit sa voisine en eau potable. La Ville de Mercier entend poursuivre ses investigations avec des experts-conseils pour éviter qu'une telle situation se reproduise. La Municipalité n'en est pas à ses premiers problèmes reliés au réseau d'égout et d'aqueduc. En septembre 2019, elle a imposé un moratoire sur la construction immobilière le temps de faire une analyse de ses infrastructures souterraines. Le rapport final n'est pas encore déposé. À lire aussi : Moratoire sur la construction immobilière à Mercier