Culture
Un record pour le 11e Festival Accès Danse à Châteauguay
le vendredi 23 mars 2018
Modifié à 10 h 26 min le 23 mars 2018
(Texte de Marie-Josée Bétournay) Le 11e Festival Accès Danse s’ouvre avec un nombre record de 370 festivaliers ce vendredi 23 mars à Châteauguay.
C’est près de 100 festivaliers de plus que les années antérieures. «On bat des records, c’est la première fois en 11 ans», lance fièrement Anik Lacelle, coordonnatrice du festival.
Mme Lacelle attribue cet engouement à la mission première du festival. «La danse est reliée à la compétition, la performance. Ici, le festival est un lieu de partage, d’échange. Les artistes sont très disponibles pour les jeunes qui peuvent se projeter vers le milieu professionnel de la danse», dit-elle.
Les 370 festivaliers se veulent en grande majorité des jeunes de 12 à 17 ans inscrits en concentration art dans une douzaine d’écoles secondaires publiques établies un peu partout en province, dont LaSalle, Saint-Constant, Québec et Mont-Laurier. Depuis trois ans, les directions d’écoles privées s’intéressent de plus en plus au Festival Accès Danse, souligne la coordonnatrice.
[caption id="attachment_40423" align="alignnone" width="521"]
(Photo: Iro Valaskakis-Tembeck)[/caption]
[caption id="attachment_40424" align="alignnone" width="521"]
(Photo: Philippe Provencher)[/caption]
[caption id="attachment_40425" align="alignnone" width="521"]
Le chorégraphe Simon Ampleman. (Photo: Bricks Photography)[/caption]
30 ateliers de perfectionnement
Le temps d’une fin de semaine, les jeunes pourront enrichir leurs connaissances à l’occasion de 30 ateliers de perfectionnement offerts par des artistes bien établis, dont le chorégraphe montréalais Simon Ampleman, porte-parole du festival. Le contenu des ateliers va de la danse, sous toutes les formes, au ballet classique en passant par le théâtre corporel. «Pour les jeunes danseurs, c’est une chance d’avoir un enseignement différent et plus élevé par un professionnel du milieu de la danse», précise Mme Lacelle en ajoutant que ce volet laisse souvent la place à de belles rencontres professionnels-jeunes entre deux ateliers. L’Académie de danse irlandaise de Châteauguay comptera parmi les enseignants cette année. Les représentants de l’académie offriront deux ateliers de 90 minutes chacun sur «une danse qui a beaucoup d’histoire», précise Anik Lacelle. Les jeunes auront aussi l’occasion de participer à un déjeuner-causerie en compagnie de Simon Ampleman.
5 spectacles
Les festivaliers pourront aussi participer à quatre spectacles professionnels et un de la relève. Parmi les spectacles professionnels, Anik Lacelle souligne 26 lettres à danser et Lien(s). Elle qualifie le premier spectacle de coloré et ludique, idéal pour les jeunes qui veulent s’initier à la danse. La coordonnatrice parle de «travail physique» dans le cas du second. Et s’il y avait un seul spectacle à voir, quel serait-il? Anik Lacelle dévoile son coup de cœur À la douleur que j’ai. «La dramaturgie est très forte. Ça vient chercher les émotions en dedans de soi. C’est plus doux, contemporain, poétique», décrit-elle.
Bien qu’axé sur les adolescents, le Festival Accès Danse invite le grand public à participer à toutes ses activités, spectacles comme ateliers de perfectionnement. Et l’invitation a été entendue. «Des gens suivent un ou deux ateliers le samedi. Ce sont des gens qui ont fréquenté les écoles de danse, qui ont un intérêt pour la danse», affirme-t-elle. Des billets sont disponibles pour tous les spectacles.
(Photo: Iro Valaskakis-Tembeck)[/caption]
[caption id="attachment_40424" align="alignnone" width="521"] (Photo: Philippe Provencher)[/caption]
[caption id="attachment_40425" align="alignnone" width="521"] Le chorégraphe Simon Ampleman. (Photo: Bricks Photography)[/caption]
30 ateliers de perfectionnement
Le temps d’une fin de semaine, les jeunes pourront enrichir leurs connaissances à l’occasion de 30 ateliers de perfectionnement offerts par des artistes bien établis, dont le chorégraphe montréalais Simon Ampleman, porte-parole du festival. Le contenu des ateliers va de la danse, sous toutes les formes, au ballet classique en passant par le théâtre corporel. «Pour les jeunes danseurs, c’est une chance d’avoir un enseignement différent et plus élevé par un professionnel du milieu de la danse», précise Mme Lacelle en ajoutant que ce volet laisse souvent la place à de belles rencontres professionnels-jeunes entre deux ateliers. L’Académie de danse irlandaise de Châteauguay comptera parmi les enseignants cette année. Les représentants de l’académie offriront deux ateliers de 90 minutes chacun sur «une danse qui a beaucoup d’histoire», précise Anik Lacelle. Les jeunes auront aussi l’occasion de participer à un déjeuner-causerie en compagnie de Simon Ampleman.
5 spectacles
Les festivaliers pourront aussi participer à quatre spectacles professionnels et un de la relève. Parmi les spectacles professionnels, Anik Lacelle souligne 26 lettres à danser et Lien(s). Elle qualifie le premier spectacle de coloré et ludique, idéal pour les jeunes qui veulent s’initier à la danse. La coordonnatrice parle de «travail physique» dans le cas du second. Et s’il y avait un seul spectacle à voir, quel serait-il? Anik Lacelle dévoile son coup de cœur À la douleur que j’ai. «La dramaturgie est très forte. Ça vient chercher les émotions en dedans de soi. C’est plus doux, contemporain, poétique», décrit-elle.
Bien qu’axé sur les adolescents, le Festival Accès Danse invite le grand public à participer à toutes ses activités, spectacles comme ateliers de perfectionnement. Et l’invitation a été entendue. «Des gens suivent un ou deux ateliers le samedi. Ce sont des gens qui ont fréquenté les écoles de danse, qui ont un intérêt pour la danse», affirme-t-elle. Des billets sont disponibles pour tous les spectacles.