Rouille, joints, bas de caisse : le vrai coût du climat québécois sur ton auto

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Au Québec, les voitures vivent dans un environnement hostile. Entre les grands froids, les étés humides, les cycles de gel-dégel, le sel sur les routes, la poussière et les pluies acides, chaque saison attaque ton véhicule d’une façon différente.
Et ce ne sont pas toujours les gros éléments mécaniques qui souffrent le plus. Certains petits détails esthétiques ou fonctionnels s’abîment lentement, sans qu’on s’en rende compte, jusqu’au moment où il est trop tard.
Voici quelques zones sensibles de ton auto à surveiller de près — et des conseils pour limiter les dégâts.
1. Les bas de caisse
C’est l’un des endroits les plus exposés à la saleté, au sel et à l’humidité. Les bas de caisse sont souvent négligés lors des lavages rapides, ce qui les rend particulièrement vulnérables à la rouille.
Même une voiture récente peut commencer à montrer des signes d’oxydation au bout de quelques hivers si elle n’est pas bien protégée.
La meilleure solution ? Un traitement antirouille annuel. VitroPlus offre un service d’antirouille qui protège les zones les plus sensibles de ton véhicule, avec des produits conçus pour les conditions québécoises.
2. Le dessous du véhicule
On ne le voit pas, donc on l’oublie. Et pourtant, le châssis, le système d’échappement, les bras de suspension et les conduites de frein sont constamment exposés à la gadoue, au calcium et à l’eau stagnante.
Avec le temps, la corrosion peut ronger des pièces vitales, allant jusqu’à fragiliser la structure du véhicule. Dans certains cas, un simple trou dans une conduite rouillée peut entraîner une perte de freinage.
Un bon antirouille pénètre jusque dans les cavités internes et protège les composants qu’un simple lavage ne peut atteindre.
3. Les joints en caoutchouc
Portières, fenêtres, coffre : tous ces endroits sont munis de joints qui garantissent l’étanchéité de l’habitacle. Le problème, c’est que les variations de température extrêmes — parfois plus de 60 °C de différence entre l’hiver et l’été — fragilisent ces matériaux.
Ils sèchent, se fissurent ou se déforment, laissant passer l’eau, le vent ou le bruit. Résultat : buée persistante, infiltration d’eau, et inconfort général.
Appliquer un protecteur de caoutchouc deux fois par an peut faire une bonne différence. Et encore une fois, un traitement antirouille bien fait aide à prévenir le dessèchement prématuré de ces zones.
4. Les poignées de portières et moulures extérieures
En hiver, les poignées subissent des chocs thermiques et des accumulations de glace. Elles sont souvent manipulées de force quand les portes sont gelées, ce qui les fragilise à long terme.
Certaines moulures extérieures (surtout sur les VUS) se décollent ou se déforment avec le temps, en raison des cycles de gel-dégel et des produits de déglaçage.
Le bon réflexe : utiliser un déneigeant de portière au besoin, mais surtout, maintenir une protection globale contre l’humidité et la corrosion.
5. Les fixations et boulons visibles
Plus discrets, mais tout aussi essentiels, les boulons de roues, les attaches de garde-boue, les vis de plaque d’immatriculation et autres petits éléments métalliques rouillent rapidement s’ils ne sont pas protégés.
Cela peut sembler anodin… jusqu’à ce que tu essaies de changer un pneu et que tout soit soudé par la rouille.
Un traitement antirouille bien appliqué inclut ces zones. C’est un détail, mais qui peut faire une grosse différence en cas de pépin.
6. Les ailes arrière et l’intérieur des portières
Certaines zones du véhicule retiennent l’humidité plus que d’autres. Les ailes arrière, par exemple, accumulent souvent la boue et le sel derrière les doublures de plastique. L’intérieur des portières, surtout si les trous de drainage sont bouchés, peut aussi devenir un piège à humidité.
Résultat : la rouille commence de l’intérieur, et quand elle devient visible, il est trop tard.
C’est pour cette raison qu’un bon traitement antirouille doit atteindre les cavités internes. Les produits appliqués en surface ne suffisent pas.