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Le projet de réaligner le boulevard Industriel à Châteauguay progresse
le mardi 23 février 2021
Modifié à 12 h 03 min le 23 février 2021
Le projet de modifier le croisement des boulevards Saint-Jean-Baptiste et Industriel à l’entrée de la Ville de Châteauguay a franchi une nouvelle étape.
Le conseil municipal a adopté un règlement d’emprunt de 300 000 $ à son assemblée publique de janvier pour la préparation de plans et devis en vue de réaménager le boulevard Industriel entre la rue Pascal et le boulevard Saint-Jean-Baptiste.
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(Capture d'écran Google Map)[/caption]
La décision n’a pas fait l’unanimité. Le conseiller François Le Borgne a voté contre. Brandissant un article du Soleil de Châteauguay rapportant que le maire souhaitait utiliser le surplus de la Ville pour concrétiser le projet, il a affirmé être contre cette façon de faire. « Le projet est problématique avec son financement », a opiné le conseiller Le Borgne. « Si on finance avec les surplus budgétaires, ce ne sera pas au bénéfice de ceux qui ont payé ça. C’est jamais des bonnes pratiques de payer des projets avec des surplus, surtout des gros projets comme ça. On doit prendre des règlements d’emprunt», a-t-il exprimé.’
« J’ai de la misère à vous comprendre. Vous dites que ça prend un règlement d’emprunt et on parle d’un règlement d’emprunt », a réagi le maire Routhier.
« Mais vos projets à vous, c’est d’utiliser 10 M $ du surplus », a répliqué M. Le Borgne.
« Non, pas pour ça du tout. Pas pour faire les études d’infrastructures », a dit le maire.
Se disant en faveur du règlement d’emprunt, le conseiller Mike Gendron a nuancé : « Je suis d’accord avec François. En aucun temps je ne vais accepter de prendre 10 M $ du surplus pour ce projet si ça se fait ».
M. Gendron a aussi dit souhaiter avoir « au minimum » deux propositions de plans. « Il y avait le plan pour passer à travers le projet anciennement Zellers et l’autre qui aligne Saint-Francis à Industriel », a rappelé le conseiller.
En décembre 2020, le maire Routhier a indiqué vouloir utiliser 10 M $ du surplus pour aligner les boulevards Saint-Francis et Industriel car il s’agit d’un geste « essentiel » à ses yeux. La configuration actuelle avec deux séries de feux de circulation constitue, selon lui, un frein au développement du quartier TOD, c’est-à-dire à grande densité de population et orienté vers le transport en commun.
(Capture d'écran Google Map)[/caption]
La décision n’a pas fait l’unanimité. Le conseiller François Le Borgne a voté contre. Brandissant un article du Soleil de Châteauguay rapportant que le maire souhaitait utiliser le surplus de la Ville pour concrétiser le projet, il a affirmé être contre cette façon de faire. « Le projet est problématique avec son financement », a opiné le conseiller Le Borgne. « Si on finance avec les surplus budgétaires, ce ne sera pas au bénéfice de ceux qui ont payé ça. C’est jamais des bonnes pratiques de payer des projets avec des surplus, surtout des gros projets comme ça. On doit prendre des règlements d’emprunt», a-t-il exprimé.’
« J’ai de la misère à vous comprendre. Vous dites que ça prend un règlement d’emprunt et on parle d’un règlement d’emprunt », a réagi le maire Routhier.
« Mais vos projets à vous, c’est d’utiliser 10 M $ du surplus », a répliqué M. Le Borgne.
« Non, pas pour ça du tout. Pas pour faire les études d’infrastructures », a dit le maire.
Se disant en faveur du règlement d’emprunt, le conseiller Mike Gendron a nuancé : « Je suis d’accord avec François. En aucun temps je ne vais accepter de prendre 10 M $ du surplus pour ce projet si ça se fait ».
M. Gendron a aussi dit souhaiter avoir « au minimum » deux propositions de plans. « Il y avait le plan pour passer à travers le projet anciennement Zellers et l’autre qui aligne Saint-Francis à Industriel », a rappelé le conseiller.
En décembre 2020, le maire Routhier a indiqué vouloir utiliser 10 M $ du surplus pour aligner les boulevards Saint-Francis et Industriel car il s’agit d’un geste « essentiel » à ses yeux. La configuration actuelle avec deux séries de feux de circulation constitue, selon lui, un frein au développement du quartier TOD, c’est-à-dire à grande densité de population et orienté vers le transport en commun.